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Dans les écoles de banlieue, battre les élèves était une pratique tacitement admise, les instituteurs sachant qu’aucun parent ne viendrait se plaindre. On pouvait taper à loisir il suffisait de veiller à ne laisser aucune marque apparente. Si je passai quatre ans sans recevoir de coups, ce fut par simple chance : j’étais tombé sur une institutrice dépourvue de ce vice.